dimanche 25 mars 2012

5 km de la Course et marche populaires de LaSalle 2012

Ben coudonc. Si ça continue comme ça, on va m'accoler l'étiquette anglophone de sandbagger. En gros, le sandbagger est quelqu'un qui fait croire que ses capacités sont inférieures à ce qu'elles sont réellement, souvent pour en tirer un avantage monétaire. Dans le langage courant, l'expression a été étendue aux situations dans lesquelles il n'y a pas d'argent en jeu (comme ici dans les 30 premières secondes).

Non pas que j'aie réussi à courir le 5 km de ce matin sous les 20 minutes, objectif que j'avais déclaré inatteignable. Mais je n'aurais jamais pensé passer aussi près...

Comme le matin du Demi-marathon hypothermique le mois dernier, je me suis levé très tôt, question d'enfourner un bon déjeuner plus de 3 heures avant la course. (Et puisque que tout le monde meurt sans doute d'envie de savoir: oui, j'ai mangé des toasts au beurre de pinottes.) Je suis toutefois arrivé au centre Pearson de LaSalle, quartier général de la course, une quinzaine de minutes seulement avant le départ. Fort heureusement, j'avais récupéré mon enveloppe de coureur vendredi et installé ma puce électronique sur ma chaussure et mon dossard sur mon t-shirt la veille de la course. Mon intestin a toutefois décidé de faire des siennes ce matin, si bien que j'ai dû faire la file pour aller aux toilettes, dont je suis ressorti un gros 5 minutes avant le début de la course. Le trottinage jusqu'au centre Pearson, puis jusqu'au peloton de départ, ont donc constitué mon échauffement...

Comme il n'y avait pas de tapis à la ligne de départ, je me suis placé tout près de l'avant du peloton, plus près des élites que ce que justifient mes aptitudes en tant que coureur. En entendant une femme qui se tenait près de moi expliquer la différence entre le gun time et le chip time à un coureur d'une cinquantaine d'années, je me suis toutefois senti un peu moins touriste.

Le temps que le contact se fasse entre les satellites GPS et ma montre, la course était lancée. En me reportant à mes séances d'intervalles des derniers mois, j'ai essayé de courir à l'effort et de ne pas me laisser influencer par le rythme adopté par les coureurs autour de moi. À certains moments, j'étais sous les 3:40/km, mais je n'ai pas paniqué, puisque je savais que cette partie du parcours était rapide (faux plat descendant?) grâce à ma course de l'an dernier. J'ai essayé de me détendre et de maintenir un niveau d'effort que j'ai appris à bien connaître grâce à de nombreuses séances d'intervalles spécifiques.

J'ai croisé le panneau indiquant la fin du premier km en 3:54. Un de fait. Tout allait bien, mais je m'apprêtais à entrer dans une zone inconnue: un intervalle à mon rythme visé au 5 km qui se prolonge sur plus de 1,104 km (6 tours de la piste de 184 m du CEPSUM). Je ne me sentais pas trop mal au 2e km, mais je n'ai pas été surpris de constater que je l'avais fait en plus de 4 minutes. Avec un temps de 4:08 au 2e partiel, j'étais encore très près du 4:00/km après 2 km, ce qui était positif. De plus, même si c'était très difficile, je ne me sentais pas sur le point de casser. Les conditions météo quasi idéales pour la course (3˚C, nuageux, pratiquement pas de vent) m'aidaient à maintenir le rythme, tout comme la présence d'autres coureurs qui souffraient eux aussi en silence autour de moi. Ça faisait un heureux changement par rapport à mes entraînements du CEPSUM: pas besoin de penser à la place de gens inattentifs qui se seraient tenus tout juste à côté du parcours, pas besoin non plus de freiner brusquement parce qu'un marcheur bifurque soudainement dans mon couloir sans regarder à 1 ou 2 m devant moi, pas besoin de contourner des gens qui marchent à 2 ou 3 de large, etc.

J'ai été surpris du temps affiché à ma montre quand j'ai croisé le panneau du 3 km: 11:56. Ben coudonc, j'étais toujours dans les temps après 3 km. Est-ce que j'avais des chances de faire sous les 20 minutes? En regardant les statistiques de mes partiels (voir tableau plus bas), j'en viens toutefois à conclusion que le panneau du 3 km était mal placé. Je n'ai pas été 26 secondes plus lent au 4e km qu'au 3e, mais quelques secondes tout au plus, ce que reflète mon allure moyenne affichée pour ces partiels.

J'ai été bien content de monter puis de descendre une petite côte pour retraverser le canal de l'aqueduc municipal. Les variations d'inclinaison changeaient le mal de place. C'est avec bonheur que j'ai constaté ensuite qu'il n'y avait pas de vent de face pour le chemin du retour le long du canal. Plus loin, je n'ai pas été déçu en voyant le 4:19 affiché à ma montre pour le 4e partiel: je faisais simplement du mieux que je pouvais. Et je sentais que j'en avais peut-être assez dans les jambes pour une petite accélération en fin de course...


Le parcours. Image via mon compte Garmin Connect.


Avec moins d'un kilomètre à faire, je me sens en terrain connu, celui de mes intervalles sur piste. Sept cent mètres, 600, 500, 400, puis la ligne d'arrivée qui apparaît après deux virages à gauche, ainsi qu'un espèce de Coach Universel qui se tient sur le parcours et encourage les coureurs qui passent près de lui, à une vingtaine de mètres devant moi: «Allez-y, ça va être serré pour le 20 minutes!» Il donne l'impression de parler en connaissance de cause.

Je me fais alors la réflexion que j'aimerais ça me faire dire ça moi aussi. Ça signifierait que j'ai des chances de faire sous les 20 minutes. Comme de raison, le gars nous dit la même chose quand moi et deux autres coureurs arrivons à sa hauteur. En tâtonnant avec mon levier de vitesses mental, je trouve une vitesse plus élevée, ce qui me permet de dépasser les deux autre gars. «C'est ça», lance Coach Universel. Bizarre, comme les encouragements de purs inconnus peuvent avoir un effet. Si ce n'avait été de ça, je ne serais pas passé si près de réussir mon objectif de fou...

Les autres coureurs sont loin devant, et j'essaie de maintenir la même vitesse, ou même d'accélérer. Je donne tout ce que j'ai. À l'approche de la ligne d'arrivée, je jette un oeil au cadran officiel de la course: 19:56, 19:57,... Je comprends que je vais manquer de temps. J'arrête le chrono de ma montre en passant le fil d'arrivée. Il indique 20:02. Aussitôt après je m'arrête et mets les mains sur mes genoux, comme un autre coureur que je vois en périphérie de mon champ de vision. Pendant un instant, je crains de faire une crêpe sur l'asphalte de l'aire d'arrivée, mais la nausée passe.


Mes partiels. Image via mon compte Garmin Connect.


Au bout d'une minute, la déception d'avoir raté mon objectif de si peu passe elle aussi. Après avoir beaucoup souffert à l'entraînement et avoir souvent senti que je courais «au-dessus de ma tête» en essayant d'adopter un rythme de 4:00/km, voilà que je passe à 3 secondes d'atteindre mon objectif! Je n'ai pas cassé. Je ne suis pas «indigne» de ce temps, il est tout à fait à ma portée. Encore une fois: ben coudonc!

Si la météo collabore le 22 avril prochain à Saint-Laurent comme elle l'a fait ce matin, et si je reste en santé d'ici là, je vais passer sous les 20 minutes. Même si je dois ajouter un 6e intervalle spécifique à mes séances sur piste pour m'assurer d'avoir assez d'endurance...

samedi 24 mars 2012

Semaine du 18/03/2012

Une semaine faite surtout de bas, mais qui s'est heureusement terminée avec une belle longue sortie de course.

Dimanche: Musculation.
Lundi: Séance d'entraînement sur piste, pendant laquelle j'ai fait les intervalles suivants:


Le nombre prévu de tours de récupération entre les intervalles était de 2. J'étais cependant trop crevé pour continuer après le 4e intervalle 5-k*, et j'ai marché 2 ou 3 tours et couru 3 tours à vitesse plus lente avant de faire le dernier intervalle. Avec les 6 tours de réchauffement et de retour au calme, ça donne un total de 56 tours de course, pour environ 10,3 km.
Mardi: Musculation. Retour chez moi à la course. Ischios douloureux en descente, et mollets très tendus. Pratiquement aucune attente aux feux de circulation. 6,7 km courus en 33:30. FCmoy=129 bpm, FCmax=141 bpm.
Mercredi: Sortie de course sur le mont Royal et la colline d'Outremont, écourtée parce que j'ai été grandement incommodé par la chaleur et le smog. Quand ma fréquence cardiaque montait au-dessus de 120 bpm, j'avais l'impression de manquer d'air, et j'ai senti le besoin de faire plusieurs arrêts. Seule consolation: j'ai été presque aussi rapide que l'an dernier dans la montée du bois St-Jean-Baptiste malgré le fait que le sentier était enneigé, le tout à une FC plus basse. C'est dailleurs dans cette partie, plus fraîche et située à l'ombre, que je me suis le mieux senti. 9,6 km courus en 58:37. FCmoy=128 bpm, FCmax=154 bpm.
Jeudi: Musculation.
Vendredi: Longue sortie de course de la semaine, aller-retour au parc René-Lévesque (19,5 km). Faire une longue sortie à deux jours d'un 5 km n'était sans doute pas la l'idée du siècle, mais la température était presque parfaite pour la course et j'avais vraiment envie de courir quelques km loin du bruit et de la circulation. Une sortie thérapeutique, toute en douceur avec mes nouvelles Free 3.0, mais qui m'a aussi permis de constater que je m'améliore encore: l'aller retour m'a pris 1h40, ce qui est plus rapide que mes temps de l'automne dernier. Quand j'ai commencé à faire ce parcours il y a 3 ans, ça me prenait environ 1h54-1h55, et mes fréquences cardiaques étaient nettement plus élevées. Temps: 100:35. FCmoy= 129 bpm, FCmax=146 bpm.

En somme, 46,1 km de course à pied et 3 séances de musculation.

Tel que mentionné dans mon dernier billet, je conclus de mes séances d'intervalles des dernières semaines que je ne suis pas encore assez en forme pour courir 5 km en moins de 20 minutes. Il m'en manque encore un peu. Même si je vais adopter un rythme de 4:00/km pour commencer la course de demain matin à LaSalle, c'est plutôt le moins prochain à St-Laurent que j'espère atteindre mon objectif. En tout cas, j'ai hâte de voir sur quelle distance je serai capable de tenir le rythme demain...

jeudi 22 mars 2012

Le 5 km de LaSalle s'en vient...

Ça y est, j'ai fini par m'inscrire au 5 km de la Course et marche populaires de LaSalle, qui aura lieu dimanche prochain. Mes dernières séances d'intervalles sur piste ont montré que je ne suis pas prêt à atteindre mon objectif de faire sous les 20 minutes, j'ai mal au genou gauche à chaque fois que je cours depuis environ 2-3 semaines, et mon mental est tout sauf dur ces temps-ci, mais bon, j'y vais quand même.

En étant conservateur et en adoptant un rythme de 4:10/km dès le départ, je pourrais sans doute battre mon record absolu, qui est de 20:52 et qui date d'il y a 7 ou 8 ans. À 40 ans, ce genre «d'exploit» ne se produit pas souvent, et en théorie je devrais m'en contenter. J'ai cependant décidé de traiter la course de dimanche à la fois comme une séance d'intervalles et comme un test: je vais partir à 4:00/km et m'efforcer de tenir le rythme jusqu'à ce que je casse. Mes derniers entraînements sur piste ont été de véritables séances de torture, et courir à 4:00/km sur la route en conditions de course, entouré de tout plein de passionnés, devrait aider à changer le mal de place. Ce qui n'enlève rien au fait que j'ai probablement autant de chances de faire sous les 20 minutes que le Canadien en a de participer aux séries. Bref, si vous participez à la course ou venez y assister et que vous apercevez un gars couché en position foetale en bordure du parcours au 3e ou 4e km, vous pourrez dire: «Tiens donc, c'est Pepére».

Semaine du 11/03/2012

Mardi: Musculation. Retour chez moi à la course. Je manquais d'énergie et j'avais l'impression de peser 250 livres. Ah, le stress... 6,7 km courus en 34:24. FCmoy= 130 bpm, FCmax=149 bpm.
Mercredi: Séance d'entraînement sur la piste du CEPSUM, pendant laquelle j'ai fait les intervalles suivants:


Comme les fois précédentes, j'ai fait 2 tours de récupération entre les intervalles. À noter cependant que j'ai dû interrompre ma séance après le 4e intervalle 5-k* pour répondre à une urgence intestinale... En toute honnêteté, j'aurais de toute façon été trop crevé pour faire le 5e et dernier intervalle immédiatement. Au moins, j'ai eu l'énergie pour faire 3 x (1 tour à fond + 1 tour de marche) par la suite. Avec les 6 tours de réchauffement et de retour au calme, ça donne un total de 60 tours de course, pour environ 11,0 km.
Jeudi: Musculation. Retour chez moi à la course. Je me sentais sans énergie, mais ça allait vite tout seul... 6,7 km courus en 32:52. FCmoy= 131 bpm, FCmax=145 bpm.
Vendredi: Sortie de course qui m'a entre autres amené sur la colline de Westmount. La neige dans la partie habituelle de Summit Circle était molle, ce qui rendait cette portion très glissante. Je serais bien revenu chez moi en courant, mais ma cheville gauche s'est mise à protester après environ 13 km, et la douleur allait en augmentant, si bien que j'ai sagement décidé d'arrêter et de faire le reste du chemin en autobus. Ma bandelette, elle, s'est tenue tranquille. 17,2 km courus en 97:07. FCmoy= 127 bpm, FCmax=152 bpm.
Samedi: Environ 110 minutes de hockey cosom. Temps de jeu: environ 75 minutes. Aucune énergie.

En somme, 41,6 km de course à pied, 2 séances de musculation et environ 75 minutes de temps de jeu au cosom.

Même si ma cheville et mon genou gauches me causent de petits ennuis, ma bandelette, elle, est restée sage, en dépit du fait que je l'ai testée à fond en courant 4 jours de suite et en jouant au cosom le 5e jour. C'est encourageant.

Semaine du 04/03/2012

Dimanche: Musculation.
Lundi: Sortie de course de 12,1 km. Dégagé partout, à part les sentiers autour du parc Kent qui étaient glacés. Bandelette OK, cheville gauche douloureuse à partir de 9,5 km environ. Temps: 64:54. FCmoy=126 bpm, FCmax=144 bpm.
Mardi: Musculation.
Mercredi: Première séance d'entraînement sur piste en 3 semaines. J'ai fait les intervalles suivants:


Ventre vide + stress intense + 2 semaines sans intervalles = séance extrêmement difficile. J'en ai été réduit à faire un tour de marche après le 4e intervalle 5-k*, et j'ai décidé de mettre fin à la séance. Avec les 2 tours à vitesse plus lente entre les intervalles et les 6 tours de réchauffement et de retour au calme, ça donne un total de 48 tours de course, pour environ 8,6 km. Point positif qui n'était vraiment pas à dédaigner: ma bandelette droite n'a aucunement protesté pendant cette séance.
Vendredi: Sortie de course de 13,3 km qui m'a entre autres mené sur la colline de Westmount. Chaussée dégagée, sauf la partie habituelle de Summit Circle, qui était enneigée. Aucune douleur à la bandelette ou à la cheville. J'ai protégé ma bandelette en y allant lentement en descente. Temps: 76:09. FCmoy= 128 bpm, FCmax=153 bpm.
Samedi: 120 minutes de hockey cosom. Temps de jeu: environ 60 minutes. Avec 4 joueurs au banc, les présences ont été courtes mais intenses...

En somme, 34,0 km de course à pied, 2 séances de musculation et 60 minutes de temps de jeu au cosom.

Ma bandelette a passé avec succès le test d'une séance d'intervalles et de la longue descente abrupte de la colline de Westmount. Une semaine de course positive, donc.

lundi 5 mars 2012

Semaine du 26/02/2012

Comme prévu suite à la réapparition de mes problèmes de bandelette, je n'ai pas couru avant mercredi. Respecter ce congé auto-imposé m'a été rendu plus facile par l'apparition lundi des symptômes d'un petit rhume qui m'a affecté pour le reste de la semaine. Au moins, ce rhume est beaucoup moins virulent que ceux que j'attrape habituellement.

Dimanche: Musculation.
Mardi: Musculation.
Mercredi: Essai à la course à pied sur un parcours plat. La bandelette droite et la cheville gauche ont très bien répondu: pas la moindre douleur! Pour une raison inconnue cependant, j'ai terminé cette sortie avec les quadriceps douloureux et tendus, malgré le fait que je n'avais pas couru depuis 4 jours, soit depuis le hockey cosom du samedi précédent. Chaussée dégagée à 90%. 8,2 km courus en 44:25. FCmoy=127 bpm, FCmax=139 bpm.
Jeudi: Musculation.
Vendredi: Sortie de course sur le même parcours que mercredi, avec ajout d'une petite boucle de 2,1 km dans les rues près de chez moi à la fin. Ça ne me tentait pas du tout d'aller courir, mais ce fut finalement une sortie assez agréable. La bandelette s'est encore une fois tenue tranquille, tandis que la cheville a commencé à se manifester à un peu plus de 2 km de la fin. Neige durcie et cassonade peu profonde sur environ 30% du chemin. Reste: dégagé. 10,3 km courus en 55:44. FCmoy=127 bpm, FCmax=141 bpm.
Samedi: Environ 100 minutes de hockey cosom. Temps de jeu: environ 65 minutes. Pas d'énergie à cause du rhume, mais aucune douleur à la bandelette ou à la cheville. Yé!

En somme, 18,5 km de course à pied, 3 séances de musculation et environ 65 minutes de temps de jeu au cosom.

Une semaine à kilométrage de course réduit, donc, pendant laquelle ma bandelette a bien tenu le coup. C'est encourageant. J'étais un peu inquiet avant le programme double composé de ma sortie de course du vendredi et du cosom environ 14 heures plus tard, mais finalement tout s'est bien passé.

À moins d'un changement de dernière minute, je vais passer mon tour pour le 15 km des Pichous de cette année, qui a lieu samedi prochain. En plus de mon manque de confiance actuel envers ma bandelette qui pèse lourd dans la balance, des raisons professionnelles font en sorte que je pourrais difficilement me permettre un petit voyage au Saguenay en fin de semaine prochaine.

Pour l'instant, mon objectif de courir le 5 km sous les 20 minutes le 27 mars à LaSalle tient toujours, mais comme je n'ai pas fait de séance d'intervalles sur piste ces deux dernières semaines, je commence à craindre d'avoir perdu un peu d'endurance spécifique. Si ma bandelette le permet, je vais essayer de reprendre les intervalles cette semaine. C'est la façon dont mon corps va répondre pendant cette séance qui va déterminer si mon objectif est toujours sur les rails.